mardi 24 avril 2012

Offre d'emploi

MAISON SECOURS AUX FEMMESIntervenante auprès des femmes - contractuelle

Ce poste est sur une base de 14 heures par semaine, dont un soir (lundi) de 15hres à 21 hres et le samedi de 9hre à 17hres.

Exigences du poste :
Formation collégiale ou universitaire en sciences humaines ou disciplines connexes ;
expérience de travail ou de bénévolat en milieu communautaire ;
connaissance de la problématique de la violence conjugale, de l’intervention féministe et des ressources spécialisées en violence faite aux femmes ;
expérience de travail en relation d’aide et de suivi de dossiers, préférablement auprès des femmes victimes de violence conjugale ;
capacité d’écoute et d’observation, empathie et sensibilité face à la diversité interculturelle ;
professionnalisme et responsabilité face à des situations de crise ou de conflits ;
avoir une capacité de travail d’équipe : autonomie, initiative et sens de l’organisation, capacité de planifier et partager le travail avec les autres intervenantes et les résidantes ;
dynamisme, motivation et ponctualité, responsabilité, disponibilité et flexibilité au niveau de l’horaire, équilibre personnel ;
Langues : français, anglais et une autre langue est un atout.


Sous la supervision de la coordonnatrice, l’intervenante auprès des femmes doit accomplir les tâches suivantes : (la description complète et détaillée est disponible sur demande) :
♦ Intervention auprès des femmes hébergées
♦ Présence auprès des femmes et intervention de crise
♦ Intervention de groupe
♦ Logistique et fonctionnement de la maison
♦ Administration
et effectuer toutes autres tâches connexes liées à la nature du poste ou demandées par la coordonnatrice.


Conditions de travail :
Le salaire horaire est fixé selon la grille salariale actuelle, soit 18.56$ de l’heure.
Soumettre votre curriculum vitae ainsi qu’une lettre de présentation au plus tard le
1er mai 2012 à 16hres au Comité de sélection
Maison secours aux femmes
C.P. 22 150, CSP. St-Marc, Montréal, Qc H1Y 3K8
nricher.msf@videotron.ca - télécopieur : 514 -593-7241

Ateliers

Un programme offert aux femmes immigrantes, au sein du service Femmes du Monde du CARI St-Laurent : « Paroles et expressions de femmes » et le projet débute la semaine prochaine !
Développement personnel
Participation active à un comité Réflexion/Action
Mise en valeur de vous, en tant que « Femme »
Expression par la parole, la culture et l’art
Acquisition de compétences génériques
Réalisation d’un portfolio personnalisé.

Début des ateliers : lundi, 30 avril 2012
Contactez sans tarder ,
Elham, Naima ou Sophie
au CARI St-Laurent,
au plus tard vendredi 27 avril 2012
514-748-2007

Personnalité de la semaine

Marjorie Villefranche

Martin Beauséjour, collaboration spéciale
La Presse

Depuis un an et demi, Marjorie Villefranche dirige la Maison d'Haïti. L'organisme, créé en 1972, est un lieu d'accueil et de rassemblement pour les nouveaux arrivants. Par le biais de formations et d'activités, la Maison d'Haïti améliore les conditions de vie des familles immigrantes et les pousse à participer activement au développement de la société québécoise. La Presse et Radio-Canada décernent à Marjorie Villefranche le titre de Personnalité de la semaine.

Marjorie Villefranche est arrivée toute seule au Québec à l'âge de 12 ans. «Je venais pour passer l'été dans une colonie de vacances», dit-elle. La femme se souvient d'avoir été frappée par l'immensité des lieux, du ciel. «Et c'est aussi le jour où j'ai appris que j'avais un accent», ajoute-t-elle en riant.

Marjorie Villefranche n'est jamais retournée vivre en Haïti. Ses parents sont venus la rejoindre ici, quelques années plus tard. La femme a longtemps traîné le poids de cette rupture inattendue avec sa terre natale.

«Imaginez, vous partez pour des vacances, puis on vous apprend que vous ne retournerez jamais chez vous. Je n'ai pas fait d'adieux. J'ai longtemps cherché mon identité. J'ai souvent eu l'impression qu'une partie de moi-même manquait», avoue-t-elle.

Après des études en philosophie et en histoire de l'art, la jeune Marjorie est «happée par le communautaire» en côtoyant Max et Adeline Chancy, un couple très engagé dans la communauté haïtienne. Mme Chancy deviendra même un mentor pour Marjorie.

«Adeline, c'est mon modèle depuis que j'ai l'âge de 16 ans», ajoute-t-elle. Les deux amies ont participé ensemble à l'élaboration d'une campagne gouvernementale d'alphabétisation en Haïti en 1997.

Mais la crise politique de 2000 viendra mettre un terme au projet. Ce voyage sera tout de même salutaire pour Marjorie Villefranche.

«J'ai réalisé que mon pays c'était finalement le Québec. J'ai étudié ici, je suis tombée amoureuse ici, j'ai mis mes enfants au monde ici», avoue-t-elle.

La Maison
Fondée en 1972 par des étudiants haïtiens, la Maison d'Haïti est un organisme qui facilite l'intégration des immigrants qui choisissent Montréal comme terre d'accueil. «On ne s'occupe pas seulement des

Haïtiens, mais de tous les nouveaux arrivants», précise-t-elle.

Cours de francisation, atelier d'alphabétisation, discussion sur l'art d'être parents; la Maison d'Haïti est un lieu précieux pour les familles étrangères. Directrice depuis un an et demi, mais collaboratrice depuis les débuts de la Maison, Marjorie Villefranche est à même de constater l'évolution des nouveaux arrivants.

«Aujourd'hui, ils arrivent mieux formés, mais pas mieux informés. Ils ont fait des études, mais ils ne savent pas que l'État fournit des services qui peuvent les aider à s'installer ici. En contrepartie, ils sont toujours aussi surpris de voir que le gouvernement peut s'immiscer grandement dans leur vie. Quand je leur dis que leur bébé qui vient de naître est protégé et qu'il a des droits, certains n'en reviennent pas», avoue-t-elle.

Une fois qu'ils sont installés, la Maison d'Haïti s'efforce aussi d'améliorer leurs conditions de vie et elle les encourage à participer au développement de la société québécoise. L'organisme peut même se vanter d'avoir contribué à l'amélioration du quartier Saint-Michel. La Maison y est installée depuis 1983.

«On a mis sur pied des patrouilles de rue. Ce sont des jeunes qui sillonnent le quartier et qui interviennent avant que la police ne s'en mêle. On a aussi organisé plusieurs activités sportives. Plutôt que de flâner dans les rues, c'est une belle alternative pour nos adolescents. Saint-Michel était très dur il y a 10 ou 15 ans, c'est maintenant un endroit paisible où il y a beaucoup de familles», ajoute-t-elle.

La Maison a aussi formé un club exclusivement réservé aux adolescentes. «Elles peuvent participer à des activités artistiques et culturelles. Mais il y aussi des discussions sur des sujets sérieux comme le racisme ou l'excision. Les jeunes filles ont la liberté de poser toutes les questions qu'elles veulent», précise-t-elle.

On ne peut pas parler de la Maison d'Haïti sans revenir sur le séisme de 2010. L'organisme venait de rouvrir après deux semaines de vacances pour les Fêtes. «Les gens sont venus immédiatement vers nous pour avoir des nouvelles. Au lieu de les retourner chez eux, on a décidé de se transformer en centre de crise», dit-elle.

Marjorie Villefranche garde de cette tragédie le souvenir de deux communautés, haïtienne et québécoise, très unies.

«On a réalisé que nous étions tous des frères, des soeurs. Nous étions en deuil, mais vous aussi. Il y avait énormément de Québécois en Haïti. La province est très attachée au peuple haïtien. Une soixantaine de bénévoles débarquaient à nos bureaux chaque jour pour offrir leurs services. Et la majorité était des Québécois de souche», souligne-t-elle.

Maintenant, la directrice planche sur de nouveaux projets. Elle voudrait construire un nouvel immeuble sur le terrain situé tout juste à côté. La Maison d'Haïti manque cruellement d'espace. La moitié de ses activités se donne maintenant dans des locaux prêtés par la Ville.


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samedi 14 avril 2012

Immigration et incompétence


Rima Elkouri
La Presse | Publié le 13 avril 2012 à 09h13 | Mis à jour à 09h13

«J'ai peur d'être mariée de force et de gâcher mon avenir avec un vieux monsieur. Il y a aussi mon excision qui m'attend.»

Zenab, la jeune fille de 17 ans qui prononce ces paroles terribles, n'habite pas dans un village en Afrique. Elle vit à Montréal depuis cinq ans. Avec sa famille, elle a fui la Guinée pour un pays où, en principe, on ne tolère pas que des jeunes filles soient mariées de force. Un pays où, en principe, on n'accepte pas non plus que des filles subissent des mutilations génitales.

Le gouvernement canadien peut-il renvoyer dans son pays une jeune fille en sachant fort bien que cela équivaut à lui donner un visa pour l'excision? Les réponses évasives du ministre de l'Immigration, Jason Kenney, ne sont guère rassurantes.

Petit rappel des faits pour ceux qui n'ont pas suivi cette triste histoire. Kankou Keita Mansaré a fui la Guinée avec ses cinq enfants en 2007. Sa demande d'asile, jugée peu crédible, a été rejetée. Dès lors, toute la famille était menacée d'expulsion. Pour éviter d'en arriver là, la mère de famille a fait des démarches pour présenter en 2010 une demande de résidence permanente pour motifs humanitaires et une demande d'examen des risques avant renvoi. Mais pour des raisons qui restent nébuleuses, ces documents se sont perdus quelque part dans le ventre de la bureaucratie. Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) dit n'avoir jamais rien reçu. Me Luc Desmarais, l'avocat qui s'occupait du dossier, soutient qu'il a envoyé la demande, mais que l'Immigration l'a perdue, comme cela arrive «de plus en plus souvent». J'ai tenté de le joindre pour en savoir davantage. Il n'a jamais répondu à mes appels. Pas de commentaire, me dit-on à son bureau, en invoquant le fait qu'une plainte a été portée contre lui au Barreau.

Citoyenneté et Immigration Canada renvoie la balle à l'avocat. «CIC traite minutieusement les demandes qu'il reçoit et n'en a égaré qu'à de très rares occasions», m'écrit un de ses porte-parole, qui rappelle que Me Desmarais a déjà été sanctionné par le comité de discipline du Barreau à la suite d'une autre plainte pour une affaire semblable.

Travail bâclé de l'avocat ou erreur administrative menant tout droit à l'expulsion? On n'en sait rien. Mais si la demande a bel et bien été perdue, pourquoi l'avocat n'a-t-il fait aucun suivi du dossier de sa cliente? Une mère vulnérable, qui travaille dans une usine, amasse à la sueur de son front 1300$ pour Immigration Canada et 800$ pour payer un avocat dans l'espoir d'un avenir meilleur pour sa famille. Elle confie à l'avocat son espoir et son argent. L'avocat dit que le dossier a été perdu et il passe à un autre appel. En se disant quoi? Bof! C'est juste l'avenir d'une famille en mode survie qui est en jeu?

Est-il normal qu'une famille travailleuse et bien intégrée voie son destin s'embrouiller à cause d'un cafouillage administratif dont elle n'est pas responsable? Est-il normal que le Canada ferme les yeux sur les risques d'excision qui pèsent sur les deux filles de la famille? Le ministre Jason Kenney n'a pas répondu à ma demande d'entrevue. Interviewé à la radio avant-hier, il a refusé de tenir compte des risques de mutilations génitales et de mariage forcé, sous prétexte que la mère n'a pas, selon lui, parlé de ces inquiétudes ailleurs que dans les médias. C'est pourtant faux. Ces inquiétudes figuraient bel et bien dans la demande de résidence permanente pour considérations humanitaires ainsi que dans la demande d'examen des risques avant renvoi faites en 2010. La requête comprenait aussi le dossier médical de Zenab. Elle souffre d'hyperthyroïdie et ne pourrait être convenablement soignée en Guinée, l'un des pays les plus pauvres de la planète.

Si, en raison de l'incompétence d'un avocat ou d'Immigration Canada, le dossier s'est perdu, pourquoi serait-ce à la famille de payer pour cette erreur?

Il y a des limites à se réfugier derrière des considérations administratives pour justifier l'injustifiable. Quoi qu'en dise le ministre Kenney, les risques sont bien réels pour les filles de la famille Mansaré. Selon l'UNICEF, 96% des femmes et des jeunes filles guinéennes ont subi des mutilations génitales. Des excisions sont pratiquées même quand les parents s'y opposent. Ce ne sont pas eux qui ont le dernier mot, mais la famille élargie. Les mesures de protection pour les filles sont inexistantes. C'est pour cette raison qu'ici comme ailleurs, dans des cas similaires, des juges ont tranché en faveur des victimes potentielles: on ne peut procéder à une expulsion si on ne peut garantir une protection suffisante pour éviter l'excision.

La famille, prise à la gorge par l'angoisse, a obtenu de l'Agence des services frontaliers un sursis jusqu'au 19 avril. On lui demande de se présenter au rendez-vous avec ses valises. Hier, Kankou Keita Mansaré, la voix brisée par l'émotion, m'a dit qu'elle gardait espoir malgré tout. Puisse son espoir ne pas être trahi.

bulletin CATHII info mars/avril 2012

Infourmations pour les femmes


Vous pouvez déjà lire le dernier bulletin CATHII info mars/avril 2012


Vous pourrez y lire :

  • Les grandes lignes du Rapport mondial sur l’exploitation sexuelle dans le monde
  • Les détails de la campagne du CATHII, Pour un développement durable sans traite humaine  
  • De plus, des informations sur les Conventions internationales portant sur la protection des travailleurs et travailleuses les plus à risque de subir la traite humaine.  
  • Finalement, des informations sur les activités des membres du CATHII.

 Le bulletin est aussi disponible sur le site du CATHII : www.cathii.org

Louise Dionne
Coordonnatrice (CATHII)
Téléphone : (438) 380-6856
Courriel : ldionne.cathii@gmail.com
Blogue : nouvellescathii.blogspot.com
Twitter : twitter.com/Cathii_info
Facebook: www.facebook.com/CATHII.info

Droit de la famille



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To people working with women:

The Family Law Education for Women (FLEW) campaign helps women access information on their rights and options under Ontario family law. We provide accessible information to help women understand their rights and how to act on them. Available in 14 languages including American Sign Language, FLEW materials are tailored to the needs of different communities and cover many family law issues.
  • Alternative Dispute Resolution
  • Child Custody & Access
  • Family Law Arbitration
  • Immigrant, Refugee & Non-status Women
  • Find Help with your Family Law Problem
  • Francophone Women
  • How Property is Divided in Family Law
  • Jewish Women
  • Marriage and Divorce
  • Muslim Women
  • Spousal Support
  • Women with Disabilities and Deaf Women
  • Child Protection and Family Law
  • Child Support
  • Criminal and Family Law
Please help FLEW materials reach women who need them!
We hope your agency will help support FLEW and the women it serves. We look forward to the opportunity of working with you on this important and exciting campaign. Please let us know if you do or do not distribute our materials through your website or in your agency (for tracking and reporting purposes).
There is a greater risk of violence when an intimate relationship is ending. If you are in immediate danger, call 911. If you or someone you know is at risk, visit the FLEW website for information on getting support.




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Aux personnes qui travaillent auprès des femmes :

Grâce à la campagne Femmes ontariennes et droit de la famille (FODF), plus de 300 000 documents juridiques ont pu être distribués dans toutes les régions de l’Ontario. L’objectif de cette campagne est d’aider toutes les femmes à obtenir des renseignements sur leurs droits et les options qui s’offrent à elles en vertu du droit de la famille de l’Ontario. Il s’agit donc de fournir de l’information accessible aux femmes afin qu’elles puissent comprendre et savoir comment exercer leurs droits. La campagne FODF souhaite particulièrement rejoindre les femmes qui peuvent être isolées ou désavantagées en raison de leur récente arrivée au pays, de leur religion, de leur langue, de leur emplacement géographique, de facteurs ethnoculturels, de limitations fonctionnelles et de divers autres facteurs les empêchant d’accéder à cette information.
Nous vous invitons à consulter et à distribuer les affiches, dépliants et livrets d’information juridique qui sont offerts GRATUITEMENT, en français de même qu’en format audionumérique et GRANDS CARACTÈRES. Ces informations sont aussi offertes en 11 autres langues.
Les documents traitent des sujets suivants relatifs au droit de la famille de l’Ontario :
  • Les méthodes alternatives de règlement des conflits
  • La protection de l’enfance
  • La pension alimentaire pour enfant
  • Le droit criminel et le droit de la famille
  • La garde légale et le droit de visite
  • L’arbitrage familial
  • Le droit de la famille et les femmes immigrantes, réfugiées ou sans statut
  • Comment trouver de l’aide pour régler un problème de droit de la famille
  • Le partage des biens en droit de la famille
  • Le mariage et le divorce
  • La pension alimentaire pour conjointe ou conjoint
  • Les femmes autochtones et le droit de la famille
  • Les femmes musulmanes et le droit de la famille
Nous faisons appel à vous afin que les femmes qui ont besoin de ces renseignements puissent y avoir accès!
Nous vous prions de partager ces documents d’information juridique en langage clair et offerts GRATUITEMENT avec vos clientes et partenaires communautaires qui œuvrent auprès des femmes et des familles en Ontario. Voici ce que vous pouvez faire :
Nous espérons que vous accepterez cette invitation à appuyer la campagne FODF et sommes impatientes de collaborer avec vous afin de faire de cette importante campagne une réussite. À des fins de suivi et d’analyse, veuillez s.v.p. nous informer si vous choisissez de distribuer ou non nos documents par l’entremise de votre site Web ou dans vos bureaux.
Merci,
http://www.metrac.org/images/email/fodf.logo.jpg
Les opinions exprimées dans le présent document sont celles de FODF et peuvent
ne pas être représentatives de celles du gouvernement de l’Ontario.
C’est au moment où la relation de couple prend fin que le risque de violence mortelle est le plus élevé pour les femmes victimes de violence. Si vous êtes en danger immédiat, appelez la police. Si vous-même ou une femme que vous connaissez êtes à risque, consultez le site Web de FODF pour obtenir des renseignements sur comment trouver de l’aide.

Programme Action diversité




Invitation

La ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, madame Kathleen Weil,
a le plaisir de vous inviter au dévoilement des projets retenus
dans le cadre du Programme Action diversité. 

 Cette année, le thème du programme est Pour réduire les inégalités vécues par les femmes immigrantes et des minorités ethnoculturelles : 
une concertation améliorée, des outils adaptés et des pratiques novatrices.


L’événement aura lieu 
le lundi 16 avril à 10 h, 
 à la Maison Parent-Roback, 
110, rue Sainte-Thérèse, 
bureau 103, à Montréal.

RSVP auprès de Lyne Rodrigue
Téléphone : 514 873-6440, poste 20062
Courriel : diversite.culturelle@micc.gouv.qc.ca

http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/infolettres/app/forms/pad/envoi.html

École Femmes et Démocratie

Inscriptions



jeudi 5 avril 2012

FORUM EMPLOI


Construire un partenariat d'avenir
Femmes et métiers non traditionnels
L'équipe d'Action Travail des Femmes a le plaisir de vous convier à son forum d'emploi

Construire un partenariat d'avenir : femmes et métiers non-traditionnels

qui se tiendra le vendredi 20 avril 2012

Ce forum d'emploi offrira  un lieu d'information et de mise en lien pour les femmes intéressées à diversifier leurs choix professionnels et scolaires. Le forum permettra d'échanger avec des représentant-e-s des différents secteurs de l'emploi et de la formation, et de découvrir des métiers présentant des  taux de placement élevés des conditions avantageuses et d'excellentes perspectives d'avenir.
Plusieurs secteurs de notre économie accusent, ou accuseront dans les prochaines années, une importante pénurie de main-d'oeuvre. Or, bien qu'ils représentent des opportunités d'avenir fort intéressantes, nombre des « emplois d'avenir » associés à ces secteurs sont méconnus ou demeurent peu convoités par les femmes..
C'est en réponse à ces constats que Action Travail des Femmes a créé cet évènement qui s'adresse à toutes les femmes, quelles soient en cours de formation, en recherche d'emploi, en réorientation de carrière ou cherchant à réintégrer le marché du travail. Nous vous invitons à participer à cet évènement et à le diffuser largement auprès de  vos usagères.
En plus du forum d'emploi, des ateliers d'information et de discussion auront lieu au courant de la journée sur différents thèmes et enjeux liés au travail des femmes en milieux non-traditionnels.
Le forum est gratuit et ouvert à toutes. Il se déroulera de 10h à 16h au Centre d'Éducation des Adultes Champlain, Édifice Accès-travail, 1050 5e Avenue, Verdun (à deux pas du métro : Jolicoeur).
Acheminez votre formulaire d'INSCRIPTION (ci-joint) à nontraditionnel.atf@bellnet.ca ou appelez nous : (514) 768-7233.
Pour  diffuser  cet évènement, COMMANDEZ NOTRE AFFICHE PROMOTIONNELLE par courriel et nous vous la posterons dans la journée.

Nous espérons vivement vous compter des nôtres. 

Solidairement,

Toute l'équipe d'ATF

Service d'accès à l'égalité en emploi

Cet  évènement  est  réalisé  dans  le cadre d'un projet  financé par Condition féminine Canada.

dimanche 1 avril 2012

ATELIERS ÉTATS GÉNÉRAUX

Complétons ensemble la trousse d’outils des États généraux de l’action et de l’analyse féministes intitulée : Retracer l’histoire des femmes depuis vingt ans! 

S’inscrivant dans la période bilan des États généraux , un atelier aura lieu le  mercredi 4 avril à 18h00 à la Maison Parent-Roback  afin de nous permettre de nous remémorer les moments marquants des luttes des femmes immigrantes et/ou racisées, d’identifier les avancées de même que les contraintes auxquelles nous sommes confrontées. Cette démarche proposée nous permettra de faire notre propre évaluation des 20 dernières années et d’identifier les enjeux qui en émergent.

La méthode proposée est assez simple : au cours de cet atelier, nous synthétiserons le fruit de nos réflexions à l’aide de la trame de prise de note fournie dans la  trousse, et  nous enverrons ensuite le tout à l'équipe de travail des États généraux. Les résumés d’ateliers seront au coeur de la démarche de consultation des États généraux puisqu’ils serviront à dresser un portait historique et inclusif du mouvement des femmes.
Soyons nombreuses pour cet important exercice de réflexion!

Au nom du Comité des femmes des communautés culturelles de la FFQ,
Leila Bedeir
Lorena Favier
Nadia Lopez
Imane Mawassi
Délice Mugabo 


N.B. :Vous pouvez jeter un coup d'oeil ou imprimer la trousse à partir du site:

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